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C’est un marché qui affiche une croissance insolente. En 2020, en Suisse, le bio a rapporté 3’056 millions de francs. Soit 20% d’augmentation en cinq ans. Afin de remplir les assiettes de consommateurs toujours plus affamés de produits biologiques, il faut désormais produire en quantité industrielle et alimenter les rayons des supermarchés. Éleveurs parfois sous pression, intensification des cultures, jungle des labels, marges exorbitantes, elle paraît lointaine l’image d’Epinal du petit producteur bichonnant ses légumes. Prix, production, emballage, la journaliste et nutritionniste Rachel Richterich mène une enquête immersive auprès des acteurs de l’industrie du bio et de défense des consommateurs....

Entre un grand-père et son petit-fils, entre la crise des missiles nucléaire à Cuba et la pandémie mondiale de coronavirus, deux générations racontent des parcours diamétralement différents, mais qui nous racontent le monde qu’on partage et qu’on se lègue.

«C’est difficile d’être l’héritier de soixante-huitards. Ils étaient tellement puissants, avec une mobilisation artistique complète. Toi qui ne veut pas faire comme eux, tu te dis: «Quelle va être ma révolte à moi?» Fils du comédien Jean-Luc Bideau, le directeur de Présence Suisse refait le film de sa jeunesse et ravive son passé de batteur à travers ses propres vinyles...

Dans cet épisode de «Cash ma Queen», rencontrez Morgane Pfefferlé, une jeune femme qui a fondé son entreprise avant même d’avoir terminé ses études.
Avec le soutien de Vaudoise Assurances.

Dans une forêt jurassienne, Giovanni vit au plus proche des valeurs des chasseurs-cueilleurs. Inspiré par la préhistoire, il vise l’autosuffisance et nous guide à travers ce mode de vie simple, à l’écoute de la nature. Il nous décrit sa fascination pour le «grand air» et son quotidien en quête de décroissance.

Si Nathalie Brodard est aujourd'hui à la tête de deux entreprises florissantes, tout n'a pas toujours été rose pour cette hyperactive touche-à-tout. Dans ce nouvel épisode de «Cash ma Queen», l’entrepreneuse à succès revient sur son histoire mouvementée.
Avec le soutien de Vaudoise Assurances.

Léonie, 11 ans, envoie tous les jours des «feux» sur Snapchat à ses amies. Lucien, son père, qui travaille toute la journée devant un ordinateur, cherche à réguler son temps d’écran, sans empiéter sur son intimité. Ensemble, ils entrouvrent les coulisses des négociations familiales, entre intérêts de chacun et souci concernant la santé des enfants.
Présenté par Hôpital ophtalmique Jules-Gonin

«Oser», tel est le mantra de Valérie Dittli: oser parler de son salaire, oser affirmer sa valeur et oser prendre ses responsabilités. La conseillère d’Etat qui gère par ailleurs un budget de 11 milliards de francs au département des finances et de l’agriculture du canton de Vaud, se confie sur son rapport à l’argent dans ce nouvel épisode de «Cash ma Queen».
Avec le soutien de Vaudoise Assurances.

«J’ai grandi à Amiens, où mes parents travaillaient pour l’armée. Leur divorce – j’avais 14 ans – a déclenché ma rébellion.»
A la fin des années 1980, celle qui est aujourd’hui la discrète et efficace directrice des Docks, à Lausanne, embrasse la scène alternative punk, devient fan de groupes tels que les Clash, les Cure et Depeche Mode et organise ses premiers concerts...

Dans un nouvel épisode de «Cash ma Queen», nous avons rencontré la députée PLR Claudine Esseiva. Pour atteindre l’égalité salariale, l’indépendance et la sécurité financière, pas de secret, il faut parler argent.
Avec le soutien de Vaudoise Assurances.